Notre histoire

En 2016 naît une idée folle, absurde, abstraite. Deux étudiants s’amusent sans savoir où ils vont, avec pour seul moteur une passion commune pour les jeux de stratégie.

Janvier 2016 : Une amitié d'enfance

Valentin Schneeberger rencontre Lucien Jeanprêtre en 2010 dans un magasin de jeux de société à Neuchâtel, il n’a alors que 13 ans. Très vite, ils accrochent. Lucien lui apprend les règles du jeu de Go et ils rejoignent le club de Neuchâtel. Leur amitié, comme leur passion pour le jeu, va se développer pendant plusieurs années.

Les échecs, le jeu de Go, les cartes Magic®, le baby-foot et les tours de magie vont les bercer et les suivre durant toute leur adolescence. Mais c’est le Go et ses milliards de possibilités qui va le plus les impressionner. À cette époque, ils rencontrent Luc Pétiard au sein du club ; il deviendra un ami pour eux deux.

Puis les études les séparent, physiquement du moins. En janvier 2016, Lucien part à San Francisco pour y faire un Master en Arts Visuels au San Francisco Art Institute, tandis que Valentin poursuit sa formation en informatique au CPLN. Ils continuent de s’appeler, pour prendre des nouvelles l’un de l’autre, discuter de leurs passions communes ou simplement jouer en ligne.

Mars 2016 : Intelligence Artificielle - Défi du XXIème siècle

En mars 2016, un événement bouleverse le monde mais encore plus le leur. Lucien suit en direct le match de Go opposant Lee Sedol, grand champion mondial, à l’IA Alphago, développée par le studio DeepMind de Google. Le verdict est sans appel : une raclée pour le champion.

Le jeu de Go a approximativement 10600 possibilités, un nombre beaucoup trop grand pour que l’IA puisse calculer tous les coups envisageables. Ce jeu se joue avec une part d’instinct, souvent décrite par les champions comme étant artistique. On joue certains coups car ils sont beaux, sans être vraiment capable d’appréhender leur justesse. Que la machine soit capable de battre alors un humain retourne l’esprit de Lucien. Il comprend qu’à présent tout jeu de stratégie abstraite existant se verra incontestablement dominé par une IA.

Lucien, vivant alors à San Francisco à deux pas de la Silicon Valley, voit les voitures autonomes coloniser les rues et les esprits. Il observe les réactions générées chez les gens, dans un pays qui est loin d’associer les sujets éthiques aux développements de l’IA.

Ce devrait pourtant être un sujet qui est dans l’air du temps et, aux USA, même plutôt dans la folie du temps. Un sujet de société, partagé entre les initiés qui en comprennent les fonctionnements et la majorité de la population fantasmant encore sur ses applications alors que l’IA est déjà présente partout.

Lucien étudie alors les principes de base du Machine Learning, du Deep Learning, ainsi que les projets de recherches en cours. À cette époque, cela reste un sujet obscur dont il ne parvient pas à saisir toutes les ficelles, il en parle alors à Valentin, baignant dans le milieu informatique, qui a déjà compris que les IA font partie de notre quotidien.

Ils parlent de la défaite de Lee Sedol et font le parallèle avec la défaite aux échecs de Garry Kasparov contre Deep Blue, en 1997 déjà. Connaissant ces deux jeux sur le bout des doigts, sachant l’écart de complexité les séparant, ils réalisent que la recherche sur l’IA a fait un bond de géant ; les IA ne sont plus uniquement des mégas calculateurs, elles sont l’avenir de l’humanité, un outil indispensable à la prise de décision.

De ses discussions avec Valentin, Lucien fait naître un concept de jeu, acceptant l’idée que ce dernier sera tôt ou tard dominé par une IA. Il crée une œuvre d’art, un jeu présenté sans règles, un arbre quasi infini de coups possibles. Un immense espace de réflexion s’ouvre à ceux qui se feront happer par cette œuvre. L’objectif est la beauté et la complexité des coups. Ensemble, ils créent les premiers principes de ce jeu qui va devenir Marble Court.

Marble Court se voulait donc être un support ludique amenant la réflexion et l’apprentissage concernant la relation humain/machine. Les deux amis ont réalisé qu’il fallait dépasser le paradigme opposant les entités humain et machine, désormais insuffisant, pour mettre en place celui des partenariats entre celles-ci, au service de l’humain.

2016 – 2018 : D’un prototype à une startup

Durant près de 2 ans, en parallèle avec leurs études, ils travaillent sur le développement de Marble Court. Ce jeu nourrit leur curiosité, stimule leur créativité, finit par prendre le dessus et vivre par lui-même. Valentin et Lucien mélangent une part de jeux d’échecs, de Go et de stratégie abstraite. Ils créent le jeu qui les touche dans toutes leurs envies, le jeu auquel ils voudraient jouer. Ils ne réalisent pas encore qu’ils ont créé quelque-chose qui fascinera les gens autant qu’eux-mêmes. En rigolant, ils s’imaginent alors en tant que studio de jeux vidéo. Ils se surnomment The Secret Stage Studio, une façon pour eux de citer leurs longues soirées passées à travailler dessus, malgré les milliers de kilomètres qui les séparent. Ils prennent conscience qu’ils ont dépassé le stade du hobby et commencent à réfléchir à emmener ce jeu plus loin.

Ils le mettent ensuite en ligne ; le projet peut à présent vivre et être présenté à leurs amis et familles. Ils veulent simplement que les gens y jouent et puissent en profiter. Insatiables, ils ont déjà en tête de l’améliorer. Ils en discutent avec Luc Pétiard et se rendent compte qu’ajouter de l’IA va demander encore un travail conséquent ainsi que des moyens financiers qu’ils n’ont pas encore.

Fin 2018 : Rencontre avec Bertil Suter

Fin 2018, lors d’un souper associatif, Valentin et Bertil Suter parlent de leurs expériences. Bertil lui raconte ses réalisations dans le milieu de la communication et Valentin lui raconte qu’il a créé un jeu qui sort de l’ordinaire. Valentin lui envoie le lien du site pour qu’il puisse tester le jeu et peut-être déterminer vers qui se tourner pour obtenir les moyens d’aller plus loin. Le moment n’est pas encore venu mais l’éclosion est proche.

Février 2019 : Rencontre avec Urs Riggenbach & Eerik Wissenz

En février 2019, Lucien rencontre Urs Riggenbach et Eerik Wissenz dans un bar à San Francisco. Ils sont venus à la Silicon Valley pour lever des fonds pour leurs projets solaires, et leur entreprise Solar Fire tourne bien. Lucien leur parle de Marble Court, présente sa vision d’incorporation de l’IA, et du côté éthique de la collaboration humain-machine. Une conversation de bar qui finit par l’envoi d’un code d’accès au jeu.

Urs et Eerik se font happer par la puissance de séduction du jeu ; Lucien obtient bien plus que deux nouveaux utilisateurs. Le lendemain à midi, ils l’appellent pour lui dire qu’ils ont passé leur matinée à jouer à Marble Court et qu’ils veulent l’aider à mettre en place la structure d’une société ; monter une entreprise, lever des fonds et développer un projet, ils savent le faire. Les deux veulent apporter leur expérience et aider The Secret Stage Studio à prendre pied dans la réalité économique.

Au même moment en Suisse, Bertil finit par tester le jeu lui aussi ; quelques parties plus tard, il a attrapé le virus. Il appelle immédiatement Valentin et, pragmatique, lui demande s’il existe un business plan. Chose anodine pour quiconque voulant créer une société mais qui n’est pas du tout venue en tête de Lucien et Valentin jusqu’à maintenant. À quoi bon un business plan quand on a juste envie de créer un jeu passionnant pour s’amuser ?

Ajouter du sérieux à la démarche, c’est prolonger l’amusement. Bertil rencontre Lucien lors d’une conférence vidéo, puis devinant le potentiel de ce projet, il se met au travail et commence à réfléchir aux gens vers qui il pourrait se tourner pour trouver les financements nécessaires. Il fait rédiger un business plan à Lucien, qui met sur papier une présentation de projet avec l’aide d’Eerik et Urs. Bertil se met en quête d’investisseurs dans le canton de Neuchâtel. Quand le monde entier de la recherche et de l’IA se concentre à la Silicon Valley et dans quelques lieux précis, c’est rattaché à Neuchâtel que Bertil veut développer le projet ; région de taille modeste et historiquement industrielle, investissant dans la recherche et la technologie, le contexte paraît alors tout indiqué pour qu’une startup telle qu’Abalance s’y épanouisse.

Mars 2019 : Rencontre avec Olivier Vollenweider

Il cherche à obtenir un rendez-vous avec un investisseur connu dans le canton. Avant de le rencontrer il demande un retour sur la qualité du premier business plan à Olivier Vollenweider, Directeur à la banque Bonhôte. Celui-ci est intéressé par le projet et envisage de donner plus que des conseils. Après en avoir discuté avec Bertil, il rencontre Lucien en vidéoconférence mars 2019 ; il est conquis.

D’une part, il offre la possibilité de présenter le projet aux autres directeurs lors d’un meeting à la Banque Bonhôte.

D’autre part, il propose, à titre personnel, de mettre à disposition des locaux à Neuchâtel. Des locaux ? Encore une chose anodine qui n’était pas venu en tête du Secret Stage Studio, habitué à travailler depuis les 4 coins de la Terre !

Tout s’enchaîne alors à grande vitesse ; l’équipe fondatrice est constituée et travaille sur le projet 24h/24. Quand la Suisse s’endort, c’est San Francisco qui se réveille. Le développement du projet est phénoménal. On jongle avec les fuseaux horaires. On trouve quelques heures dans la journée pour se transmettre les mises à jour du projet.

Avril 2019 : Signature du contrat de pré-incorporation

Pendant les vacances scolaires d’avril 2019, Valentin part à San Francisco pour travailler en direct avec Lucien sur une nouvelle version du jeu. Le 16 avril, le contrat de pré-incorporation de la société est signé simultanément à San Francisco et Neuchâtel : Lucien, Valentin et Eerik du côté américain, et de l’autre Bertil et Urs depuis les nouveaux locaux. Le traité transatlantique est signé. Leur startup est née.

Mai 2019 : Naissance et développement d’Abalance SA

A la suite de l’officialisation de leur aventure, il est temps pour l’équipe de faire connaissance. Après avoir dû travailler à distance, toutes et tous ayant ainsi été avant-gardistes dans le domaine du télétravail, Lucien rentre à Neuchâtel et toute le monde peut enfin se rencontrer physiquement. C’est le rush, on perfectionne le business plan et on prépare la présentation du premier pitch de la société devant la Banque Bonhôte le 7 mai 2019.

Novembre 2019 : Soutien de partenaires institutionnels

Le projet, resté confiné dans leurs têtes et leurs ordinateurs, prend son envol. Un investisseur de plus s’engage. Microcity ouvre les portes de sa pépinière de startups. Une première étape importante est franchie. La crédibilité de leur société comme acteur économique est reconnue, ils obtiennent le soutien du Service de l’Economie du Canton de Neuchâtel, puis effectuent en novembre 2019 un premier alphatest dans leurs locaux, en collaboration avec Hewlett Packard. Lucien part également présenter le projet dans un salon de jeux de stratégie à Milan. Quelques investisseurs rejoignent les premiers. Les pièces se mettent en mouvement sur l’échiquier et accélèrent.

Avril 2020 : Signature du contrat d'incorporation

Le contrat d’incorporation est signé le 15 avril 2020, la startup devient Abalance SA. Grâce à sa capacité à captiver les premiers joueurs l’ayant découvert, le jeu commence à évoluer vers sa version collaborative humain-machine. Went.AI est né, prêt à inspirer les joueurs, après avoir inspiré ses concepteurs.

Les rencontres faites au cours des démarches ont permis de constituer une équipe de professionnel.le.s et passioné.e.s autour de Lucien et Valentin, afin d’agréger des compétences nécessaires à la création d’une entreprise. Les différents corps de métiers et expériences rassemblés ont permis de faire avancer rapidement ce projet.

Août 2020 : Constitution d'une équipe

En août 2020, Abalance a été sélectionnée pour participer au International Create Challenge Hackathon; une délégation s’est alors rendue durant 9 jours à Martigny, a participé aux différents workshops et pris du plaisir à rencontrer d’autres acteurs et actrices des domaines de l’IA !

Les rencontres faites au cours de toutes ces différentes démarches ont permis de constituer une équipe de professionnel.le.s et passioné.e.s autour de Lucien et Valentin, afin d’agréger des compétences nécessaires à la création d’une entreprise. Les différents corps de métiers et expériences rassemblés ont permis de faire avancer rapidement ce projet.

Octobre 2020 : Sortie de Went.AI & Conférence de presse

En pleine crise sanitaire, Abalance SA sort la bêta de son produit d’exposition : Went.AI.

Ne pouvant pas faire venir la presse en raison des restrictions sanitaires de l’époque, elle saisit l’opportunité de collaborer avec la section neuchâteloise de l’association Innovation Time pour faire une conférence de presse entièrement numérique sur Twitch.

Cette conférence de presse d’un genre particulier a été l’occasion de présenter toutes les personnes qui ont participé d’une manière ou d’une autre à la création de Abalance SA et de son premier produit.

Le 31 octobre 2020, Went.ai est mis en ligne et accessible à chacun.e.

Novembre 2020 : Premier tournoi en ligne

Pour le plus grand bonheur de l’équipe d’Abalance et des joueurs et joueuses inscrit.e.s, un tournoi en ligne a eu lieu le 7 novembre 2020, avec la possibilité d’échanger avec le staff sur place.

Soutenu par la Ville de Neuchâtel, ce tournoi a permis de démontrer que les mécaniques de jeu sont fonctionnels, reste désormais à implémenter l’IA pour finaliser le produit et la volonté de créer une collaboration humain/machine.

Septembre 2021 : Un repositionnement provisoire et les débuts d’Altar

Abalance est dans une phase creuse à cause des divers restrictions dues à la crise sanitaire. Mais les fondateurs, jamais en manque d’idée, tentent de nouvelles choses.

Les locaux sont loués ponctuellement et on verra même entre ces murs une école de soutien car Bertil Suter était auparavant professeur. C’est surtout le Connector Club, création de Bertil, qui permettra de mettre sur une nouvelle dynamique la société. Le Connector Club, ce sont des soirées de rencontres en différents acteurs du milieu économique qui ne se connaissent pas mais dont la potentialité de travailler ensemble est forte.

C’est également à ce moment-là que Lucien réfléchit à créer un nouveau jeu. Il décidera d’inventer TCG, un genre auquel il est passionné avec son ami Valentin. Ce jeu de cartes permettra de rassembler les individus que la crise avait éloignés autour d’une table.

Octobre 2021 : Une naissance

Altar naît et se matérialise depuis l’esprit de Lucien. Un nouveau TCG prend forme dans les terres neuchâteloises.

Un lore naît dans la continuité de Went.AI réunissant plusieurs Altars aux capacités et au pouvoirs différents. Mais tout reste à faire, les tests, les alpha, la commercialisation, les règles du jeu… tout est à imaginer.

Yannick Wehrli et Mel Sandoz entendent parler du projet de Lucien et décident de l’aider. Les trois esprits travaillent ensemble pour donner corps et consistance à ce nouveau TCG. Les mécaniques se pensent et se testent, le visuel des cartes se fait et se défait, bref, le jeu commence à prendre vie.

Went.AI était un jeu entièrement numérique, Altar se servira d’outils numériques pour apporter des fonctionnalités et des spécificités que les TCG ne connaissent pas encore. Fini de jouer derrière nos écrans, il est temps d’à nouveau se réunir autour d’une table.

Novembre 2021 : Un test

Alors que le jeu n’en est encore qu’à ses balbutiements, il est temps de le tester. Des individus triés sur le volet, la plupart des connaissances ou des passionnés de TCG, se réunisse dans les locaux d’Abalance pour tester ce nouveau jeu.

Ça y est ! On y est ! Le TCG 100% neuchâtelois est créé… 100% neuchâtelois, vraiment ?

Novembre 2021 à Février 2022 : Une exposition intimiste

Abalance SA organise sa première exposition d’un artiste neuchâtelois, Mandril, dans un cadre intimiste et accessible uniquement sur rendez-vous. Cette exposition offre surtout l’occasion de collaborer avec un artiste doté d’une vision innovante.

Février 2022 : Mandril, un partenaire artistique pour Altar

Lucien va à la rencontre de l’artiste pour lui parler de son projet de nouveau TCG. Son objectif ? Que l’artiste accepte l’utilisation de ses images pour créer le lore et le visuel du jeu. Entre artistes on se comprend et les deux personnalités parviennent à trouver un accord pour une exploitation commerciale des images de l’artiste neuchâtelois.

Mars & Mai 2022 : Un succès qui se confirme

Deux alpha tests ont lieu, une en mars et une en mai qui confirment l’intérêt pour un nouveau TCG avec des mécaniques innovantes. Alors que le jeu n’est pas encore sorti officiellement, Abalance signe un premier succès commercial car la start-up parvient à produire son premier chiffre d’affaires en vendant certains decks aux participants.

Juin 2022 : Collaboration artistique et Premier tournoi Altar

Abalance permet à Hubert Frydig de s’exposer pour la première fois à 63 ans. Il exposera pour une série de clichés prises lors des folles soirées neuchâteloise durant l’année 93.

C’est aussi l’occasion d’avoir les premières discussion avec une autre artiste neuchâteloise, Anaïs Fatout, pour l’aider à éditer son jeu de cartes.

Revenons à Altar :

Les choses deviennent sérieuses et il est temps d’aller se frotter à de nouveaux clients qui n’ont encore jamais entendu parler de ce jeu. Pour cela, Abalance organise en partenariat avec L’Ornithorynque, un magasin de board game à Neuchâtel, le premier tournoi du jeu Altar.

Plus qu’un tournoi, c’est aussi l’occasion de confronter le jeu à un nouvel environnement, de s’assurer que les règles sont accessibles et compréhensibles, que les joueurs peuvent prendre en main ce nouveau TCG rapidement avec une certaine facilité.

Second succès de notoriété et commercial pour Abalance. Non seulement le jeu s’attire les faveurs et les louanges d’un nouveau public et tous les decks mis en vente ce jour là trouvent preneur.

Septembre 2022 : Un public

Ludesco : la Mecque des foires de jeu en Suisse. Là se trouve à la fois l’opportunité pour le jeu de se faire connaître auprès d’un public hétéroclite et d’acquérir sa notoriété.

Altar se fait connaître et attire les curieux comme ce jeune garçon âgé d’une dizaine d’année qui, connaissant les Magic de son papa, a été attiré par ce nouveau TCG. Ou ce monsieur d’une septantaine d’année, qui a su garder sa curiosité et a voulu découvrir un nouveau jeu.

Novembre 2022 : Vernissage du Jeu Descartes

Les discussions de juin ont abouti, les détails ont été peaufinés, le jeu est désormais édité.

Mais n’oublions pas, Abalance SA est fondée par un artiste et Anaïs Fatout est également une artiste. Alors quand une œuvre est terminée, on se doit de faire un vernissage.

Janvier & Février 2023 : Du nouveau personnel arrive

Abalance SA peut engager pendant un temps du personnel pour l’aider à promouvoir Altar et l’aider dans ses tâches du quotidien.

Elle accueille donc :

  • Grégoire Droz-dit-Busset : Rédacteur en communication digitale
  • Mel Sandoz : Game designer & Designer 3D
  • William Lozano : Game Designer

C’est aussi à ce moment que le conseil d’administration est officiellement constitué de 4 personnes : Lucien Jeanprêtre est président du conseil d’administration, Olivier Vollenweider, Eerik Wissenz et William Lozano sont administrateurs.